Programme de la septième année De l’enseignement de base

 

Programme de la septième année

 De l’enseignement de base

 

 

 

Cours de  Français

 

 Vocabulaire

et

Etude de deux nouvelles :

 

La canne de grand-père

 

Mascotte, le Saint Bernard des mers

 

 

 

Année scolaire :

 

2008/2009

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 28

 

Lorsque l’enfant paraît…

 

 

 

1/  A propos du mot « cri », je complète les énoncés suivants en m’aidant du tableau :

 

 

·        On m’assène un coup dans les tibias ; je pousse un cri de douleur.

 

·        Mon petit frère fait son premier pas, toute la famille pousse un cri de joie.

 

 

·        On frappe à la porte. Ma mère ouvre et pousse un cri de surprise. Mon oncle est de retour après une longue absence.

 

·        Ma sœur réussit son examen avec une excellente moyenne. Elle pousse un cri de triomphe.

 

 

2/ A propos de l’adjectif « ravi » (du verbe ravir).

Je complète les énoncés suivants en utilisant l’un de ces trois mots : ravir, ravi, ravissant.

 

 

·        Je suis ravi de faire votre connaissance.

 

·        Grand-mère porte un tailleur ravissant des années soixante.

 

 

·        Les vêtements que lui choisit sa mère lui vont à ravir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 40

A table

 

 

1/ Remets ces actions dans l’ordre :

Débarrasser la table – Passer / Se mettre à table- Mettre le couvert- Servir la table-

 

·        Mettre le couvert.

 

·        Se mettre à table.

 

 

·        Servir la table.

 

·        Débarrasser la table.

 

 

2/ A u moment de mettre le couvert, ta sœur a glissé des objets inattendus. Retrouve-les.

 

La nappe- la salière- le mixeur- les fourchettes- la casserole- les serviettes- les couteaux- les cuillers- le presse orange- la poivrière- les assiettes- les verres-

 

3/ Dis si c’est à faire ou à ne pas faire :

 

·        Se tenir droit. (à faire)

 

·        Manger avec les doigts. (à ne pas faire)

 

 

·        Mâcher la bouche ouverte. (à ne pas faire)

 

·        Parler la bouche pleine. . (à ne pas faire)

 

 

·        Manger sans faire de bruit.(à faire)

 

 

 

 

Texte page 43 :

Le Skate – Board

 

 

 

1/ Connaître/ Savoir

Complète les phrases suivantes par l’un de ces deux verbes :

 

-         « Tu as une belle planche à roulettes, tu sais ? »

 

-         « Connais-tu ce monsieur ? Que sais-tu de lui ? »

 

 

-         Les D’hubières savent que les paysans sont pauvres. Ils leur proposent de

 

l’argent en échange de leur enfant.

 

 

 

Texte page 46 :

Souhaits d’enfants

 

 

 

1/ Les verbes de perception :

Ecouter/ Entendre

Complète les énoncés suivants avec l’un de ces deux verbes :

 

 

·        Tiens ! J’entends les enfants jouer derrière la maison.

 

·        Ecoute-moi bien ! dit le père à son fils. Nous allons prouver à ta mère que c’est facile comme tout de faire le marché. Pas vrai ? Bonhomme ?

 

 

·        Ecoute cette belle musique, c’est ma sœur qui joue du violon.

 

·        C’est un beau récit. Tu n’en as pas entendu parler ?

 

 

 

 

2/ Faire la sourde oreille/ Un dialogue de sourds.

Complète les phrases suivantes avec l’une des deux expressions données :

 

 

·        Le petit frère à sa sœur : «  Inutile de discuter encore. Papa et maman ne

 

nous écoutent pas. Cette conversation devient un vrai dialogue de sourds. »

 

·        Une maman à son enfant qui ne veut pas l’écouter : « Je sais que tu

 

 m’entends, mais tu fais la sourde oreille. »

 

 

 

Bande dessinée

Page 56

Demande d’adoption

 

 

1/ Complète les énoncés suivants avec les mots qui conviennent parmi ceux qui sont proposés :

Adopter un enfant- un enfant adoptif- une famille d’adoption (une famille adoptive)- hériter- héritier- héritage-

 

 

·        Les D’hubières n’ont pas d’héritier, ils désirent adopter un enfant.

 

·        Les gens de la chaumière voisine acceptent la proposition d’adoption faite

 

par les D’hubières. Ces derniers auront un enfant adoptif.

 

 

·        Le fils des voisins grandira chez les D’hubières ; ce sera sa famille

 

adoptive. Il pourra recevoir tous leurs biens en héritage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte Page 59

Le départ

 

 

1/ Voici divers moyens utilisés pour se situer dans le temps. Classe-les en deux colonnes et justifie son classement :

Les horloges-les montres- le chant du coq- le mouvement du soleil (le lever et le coucher)- la forme de l’ombre- les étoiles-

 

Les horloges

Les montres

Le chant du coq

Le mouvement du soleil

La forme de l’ombre

Les étoiles

 

2/ A propos de l’expression : «avoir l’air » ; « avoir l’air » + adjectif ; +  infinitif ; + G.N.

 

·        Cet enfant adopté a l’air heureux dans sa nouvelle famille.

 

·        Cette fillette a l’air de bien s’amuser.

 

·        Il a l’air d’un petit prince.

 

3/ Les verbes de perception : Voir/ Regarder

Complète par l’un des deux verbes ci-dessus que tu conjugueras si besoin :

 

 

·        Une fillette à son petit frère : « J’entre dans la cuisine et qu’est ce que je

 

vois ? Un immense gâteau d’anniversaire ! ».

 

·        La grand-mère à sa petite fille : « Tu n’as pas vu ma canne ? C’est  que tu

 

n’as pas regardé. »

 

 

·        Une mère à son fils : « Regarde-moi bien dans les yeux ! Est-ce toi qui as

 

cassé le vase ? ».

 

 

 

4/ Est-ce qu’on dit ?

 

 

·        Voir le coucher du soleil ou regarder le coucher du soleil ?

 

·        Regarder sa montre ou voir sa montre ?

 

 

·        Ecouter le chant du coq ou entendre le chant du coq ?

 

 

 

Texte page 68

Dans la nature

 

 

1/ A propos de l’adjectif « frais »

 

Herbe fraîche : gras du pré par opposition à foin, paille et fourrage.

Eau fraîche / Fontaine fraîche.

Cheval frais

Nouvelle fraîche

Viande fraîche/ Légumes frais (± congelés, en conserve).

 

Dans quelles expressions l’adjectif frais a-t-il le même sens ? Quel sens a-t-il dans les autres expressions ?

Réponds en t’aidant de cette page du dictionnaire Hachette Electronique.

 

Frais :

 

Frais → adjectif (frais- fraîche- fraîches).

 

1/ Qui est agréablement froid ou procure une agréable sensation de froid.

 

Boire une boisson fraîche.

 

2/ Qui date de peu de temps. Synonyme : récent.

 

Des nouvelles fraîches.

 

 

 

3/ Garanti de bonne qualité par une fabrication ou un arrivage récents :

 

Du pain frais.

 

4/ Qui n’a pas subi l’adjonction d’un produit conservateur ou n’a pas été soumis

 

à un procédé de longue conservation :

 

Un steak haché frais.

 

5/ Qui a été appliqué récemment et n’est pas encore sec.

 

Peinture fraîche.

 

 

2/ Le lexique de la ferme :

 

 

La traite :

 

L’action de traire, c'est-à-dire tirer le lait de la femelle de certains animaux

 

domestiques.

 

La tonte :

 

Action de tondre. Tonte des animaux.

 

Donner du fourrage :

 

Donner la nourriture aux animaux.

 

On dit couper, faire du fourrage.

 

Fourrage :

 

Plantes servant à la nourriture du bétail.

 

 

 

 

 

Le labour :

 

Travail de labourage, retourner la terre.

 

Les semailles :

 

Action de semer, d’ensemencer.

 

Ensemencement :

 

Période de l’année où l’on fait ce travail.

 

La moisson :

 

Travail agricole qui consiste à récolter les céréales lorsqu’elles sont parvenues à

 

maturité.

 

La cueillette :

 

Action de cueillir. La cueillette des cerises, des pommes, des olives.

 

Les vendanges :

 

Le fait de recueillir et de rassembler les raisins mûrs pour la fabrication du vin.

 

 

 

Texte page 79

L’hiver à la campagne

 

 

1/ Quel sens le mot pièce prend- il dans les énoncés suivants ?  

 

·        Un pêcheur ou un chasseur : «  Quelle belle pièce » :

 

        Quelle belle perdrix.

 

·        Un gendarme ou un agent de la poste : « Veuillez présenter une pièce

 

d’identité, s’il vous plaît. »

 

 

 

Veuillez présenter une carte d’identité qui prouve qui tu es. 

 

·        Un enfant à sa mère : « Papa va se fâcher, mon petit chien a mis son

 

journal en pièces. »

 

Mon petit chien a mis son journal en morceaux.

 

·        Un pâtissier à une clientèle : « La pièce montée que vous avez

 

commandée sera prête pour midi. »

 

Le gâteau en forme de pyramide.

 

·        Un vendeur à la criée : » C’est cinq euros la pièce. »

 

C’est cinq euros l’article.

 

 

2/ Emploie les expressions : pièce de rechange- pièce de théâtre et pièce de monnaie en faisant parler :

 

·        Un mécanicien à un client :

 

Va chercher cette pièce de rechange.

 

·        Un journaliste à une comédienne :

 

Quelle belle pièce au théâtre.

 

·        Un client à l’employé du taxiphone :

 

Donnez-moi des pièces de monnaie.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3/ Complète les phrases suivantes par : il fait froid/ il fait chaud/ avoir chaud/ avoir froid/ être chaud/être froid.

 

 

·        Les hirondelles reviennent quand il fait froid.

 

·        L’hiver, il fait froid à la campagne.

 

 

·        Le repas est froid, il faut le chauffer.

 

·        J’ai froid, il me faut une soupe bien chaude.

 

 

4/ Fais les parler :

 

·        Une plante qui n’a pas été arrosée depuis longtemps.

 

Comme j’ai soif !

 

·        Un enfant qui se blesse en jouant dans la rue.

 

Comme j’ai mal !

 

·        Un mendiant frappant à une porte.

 

Comme j’ai faim !

 

·        Une personne qui a une rage de dents.

 

Comme j’ai mal !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 85

Déjeuner sur l’herbe

 

 

1/ Que dis-tu dans chacune des situations suivantes ? Réponds en utilisant des expressions parmi celles qui sont proposées.

 

·        Tu reviens d’une randonnée : tu te précipites vers la cuisine où se trouve

 

ta mère.

 

Je suis affamé(e).

 

Je meurs de faim.

 

·        Tu es au zoo avec des camarades, tu vois un lion qui se prélasse au soleil,

 

le ventre rebondi :

 

Il est rassasié.

 

·        Vous êtes autour de la table : vous vous apprêtez à manger :

 

Bon appétit !

 

 

2/ Complète les énoncés suivants par l’un des adjectifs donnés se rapportant

au goût : épicé- piquant- fade- salé- poivré- sucré- amer- acide-

 

·        Un étranger reçu par une famille tunisienne : « Votre cuisine est connue

 

par ses plats épicés. »

 

·        Un médecin à une personne âgée : « Il faudra manger moins de salé et de

 

sucré pour garder la bonne forme. »

 

 

 

 

 

 

 

·        Anatole joue un tour à Petit Ange : il lui fait goûter un pamplemousse.

 

Petit Ange s’écrie :

 

« Comme c’est acide ! ».

 

·        C’est encore le mois d’octobre et on vend déjà des oranges ! Elles sont

 

certainement amères.

 

3/ Que voudrais-tu faire comme métier plus tard, quand tu seras grand ?

 

Plus tard, je voudrais être pédiatre. D’abord, j’aime beaucoup les enfants, je ne veux pas qu’ils soient malades. Ensuite, être médecin est un métier noble puisqu’on soigne les gens qui souffrent. Enfin, en étant pédiatre, j’aurais l’occasion de voir les bébés grandir puisque j’aurais l’occasion de les suivre jusqu’à la puberté.

 

 

Texte page 87

La chèvre égarée

 

1/ Quel sens le mot « montagne » a-t-il chaque fois ?

 

·        ça te dirait une randonnée à la montagne ?

 

·        Ça te dirait une tournée à la montagne, c'est-à-dire dans une région

 

montagneuse, très haute, avec des sommets élevés.

 

·        Pour mon exposé, j’ai une montagne de documents à consulter.

 

·        Pour mon exposé, j’ai beaucoup de documents à consulter.

 

 

·        Non, tu ne monteras pas sur les montagnes russes. C’est très dangereux et

 

pas de ton âge.

 

 

 

 

·        Non, tu ne monteras pas sur les grandes attractions.

 

·        Tu  en fais une montagne de cette chèvre perdue ! On la retrouvera !

 

·        Tu en fais une affaire de cette chèvre perdue ! On la retrouvera !

 

 

2/ Remplace ce qui est souligné par l’un des verbes suivants que tu conjugueras :

gaspiller – s’évanouir  ou  fuir –

 

·        Ce réservoir perd de l’essence.

 

·        Ce réservoir fuit de l’essence.

 

 

·        Tu perds ton temps devant la télé au lieu de te rendre utile.

 

·        Tu gaspilles ton temps devant la télé au lieu de te rendre utile.

 

 

·        Le passager a perdu connaissance à la suite de ce choc.

 

·        Le passager s’est évanoui à la suite de ce choc.

 

3/ Imagine ce que dit :

 

 

·        Une personne lui raconte ce qui lui est arrivé dans une ville qu’elle ne

 

connaît pas.

 

·        Je me suis perdue.

 

·        Quelqu’un qui passe des heures à chercher une information sur Internet,

 

sans résultat.

 

·        C’est une perte de temps.

 

 

 

 

Texte page 98

Le carré bleu

 

 

1/  Les verbes introducteurs :

 

a/ Complète les énoncés suivants en choisissant chaque fois le verbe introducteur qui convient et en précisant celui qui parle et à qui :

 

 

-         Le grand air t’a fait du bien, déclara le père.

 

-         Pourquoi les feuilles sont-elles jaunes en automne, demanda l’enfant.

 

 

-         Je n’ai jamais vu d’aussi belles fleurs, s’exclama l’homme.

 

-         Mange ta soupe avant qu’elle ne refroidisse, conseilla la mère.

 

 

b/ Dans les répliques suivantes, remplace chaque fois le verbe « dire » par un autre verbe plus précis.

 

 

-         Encore un week-end à la maison ! Mais je veux sortir, moi ! protesta

 

l’enfant.

 

-         Passe-moi ta gomme, chuchota l’enfant.

 

 

-         Mais c’est trop cher ! s’écria le client.

 

-         On ne dit pas en campagne mais à la campagne, corrigea la maman.

 

-         Et surtout ne touchez à rien, s’il vous plaît, insista le guide dans le musée.

 

 

 

 

 

 

Texte page 122

Vendredi et la petite chèvre

 

 

1/ Les cris des animaux :

 

Enrichis le tableau suivant avec les cris d’animaux que tu connais :

 

 

 

Le mâle

 

 

La femelle

 

Le petit

 

Le cri

Le lion

La lionne

Le lionceau

Rugit

Le taureau

La vache

Le veau

Meugle

Le tigre

La tigresse

Le tigron

Feule

Le cheval

La jument

Le poulain

Hennit

Le bélier

La brebis

L’agneau

Bêle

L’âne

L’ânesse

L’ânon

Brait

Le chat

La chatte

Le chaton

Miaule

Le chien

La chienne

Le chiot

Aboie

Le chameau

La chamelle

Le chamelon

Blatère

Le lapin

La lapine

Le lapereau

Clapit

Le renard

La renarde

Le renardeau

Glapit

Le loup

La louve

Le louveteau

Hurle

L’éléphant

L’éléphante

L’éléphanteau

Barrit

Le sanglier

La laie

Le marcassin

Grommelle

Le coq

La poule

Le poussin

Chante

Le bouc

La chèvre

Le chevreau

Bêle

L’ours

L’ourse

L’ourson

Grogne

Le singe

La guenon

La guenuche

Crie  ou Hurle

Le canard

La cane

Le caneton

Cancane

Le jars

L’oie

L’oison

Jargonne ou Cacarde

Le dindon

La dinde

Le dindonneau

Glougloute

Le pigeon

La pigeonne

Le pigeonneau

Roucoule

L’aigle

L’aigle

L’aiglon- L’aiglonne

Glapit ou Trompette

L’autruche

L’autruche

L’autruchon

 

La baleine

La baleine

Le baleineau

 

Le buffle

La bufflonne

Le bufflon

Beugle ou mugit

Le crapaud

La crapaude

Le têtard

Coasse

Le faisan

La faisane

Le faisandeau

Criaille

Le gorille

Le gorille

Le gorillon

 

La grenouille

La grenouille

La grenouillette

Coasse

Le merle

La merlette

Le merlon

Babille ou Flûte

La mouche

La mouche

Le moucheron ou L’asticot

Bourdonne

Le héron

Le héron

Le héronneau

 

Le paon

La paonne

Le paonneau

Braille ou Criaille

Le papillon

Le papillon

La chenille

 

La perdrix

La chanterelle

Le perdreau

Cacabe ou Glousse

Le perroquet

La perruche

 

Cause ou Jase

 

Les cris des animaux

L’abeille

Bourdonne

L’agneau

Bêle

L’aigle

Glapit, trompette

L’alouette

Grisolle

L’âne

Brait

La bécasse

Croule

La belette

Belotte

Le bélier

blatère

La biche

Brame

Le bœuf

Beugle, meugle, rugit

Le bouc

Béguète, chevrote

La brebis

Bêle

Le buffle

Beugle, mugit, souffle

Le butor

Bouffe

La caille

Carabe, caquette, carcaille

Le canard

Cancane, nasille

Le cerf

Brame, rait

Le chacal

Aboie, jappe,

Le chameau

Blatère

Le chat

Miaule, ronronne

Le chat-huant

Chuinte, hue, hulule, ulule

Le cheval

S’ébroue, hennit

La chèvre

Béguète, bêle, chevrote

Le chevreuil

Brame, rait

Le chien

Aboie, grogne, jappe

Le chien de chasse

Clatit, donne de la voix

La chouette

Chuinte, hue, hulule, ulule

La cigale

Chante, craquette, stridule

La cigogne

Claquette, craque, craquette, glottore

Le cochon

Grogne, grouine

La colombe

Roucoule, émit

Le coq

Chante, coquerique

Le corbeau

Croasse, graille

La corneille

Craille, criaille, croasse, graille

Le coucou

Coucoule

Le courlis

Siffle

Le crapaud

Coasse

Le crocodile

Lamente, pleure, vagit

Le cygne

Siffle, trompette

Le daim

Brame, rait, rée, râle

Le dindon

Glougloute

L’éléphant

Barète, barrit

L’épervier

Glapit, piaille

Le faon

Râle

Le faucon

Réclame

La fauvette

Zinzinule, fredonne

Le geai

Cacarde, cajole, jase

Le goéland

Pleure

La grenouille

Coasse

Le grillon

Craquette, crisse, grésille

La grille

Gringotte

La grue

Craque, grouine

La guêpe

Bourdonne

Le hibou

Bouboule, froue, hulule, miaule, ulule

L’hirondelle

Gazouille, stridule, trisse

La huppe

Papule

La hyène

Hurle

Le jars

Criaille, jargonne

Le lapin

Clapit, couine, glapit

Le léopard

Miaule

Le lièvre

Couine, vagit

La linotte

Gazouille

Le lion

Grogne, rugit

Le loriot

Siffle

Le loup

Hurle

Le merle

Appelle, babille, flûte, siffle

La mésange

Zinzinule

Le milan

Huit

Le moineau

Chuchote, pépie

La mouche

Bourdonne

Le mouton

Bêle

L’oie

Cacarde, criaille, siffle

L’orfraie

Hurle

L’ours

Grogne, gronde, grommelle

La panthère

Rugit

Le paon

Braille, criaille

La perdrix

Cacabe, glousse, rappelle

Le perroquet

Cause, jase, parle, piaille, siffle

Le phoque

Bêle, grogne, rugit

La pie

Babille, jacasse, jase

Le pigeon

Caracoule, roucoule

Le pingouin

Brait

Le pinson

Ramage, siffle

La pintade

Cacabe, criaille

Le porc

Grogne

La poule

Caquette, claquette, crételle, glousse

Le poussin

Piaille

Le ramier

Gémit

Le rat

Couine

Le renard

Glapit, jappe, glousse, crie

Le rhinocéros

Barète, barrit

Le roitelet

Gazouille

Le rossignol

Chante, gringotte

Le sanglier

Grommelle, grumelle, nasille

La sauterelle

Stridule

Le serpent

Siffle, souffle

Le singe

Crie, hurle

La souris

Chicote, couine

Le taureau

Mugit, beugle

Le tigre

Feule, miaule, râle, rauque, peule

La tourterelle

Caracoule, gémit, roucoule

La vache

Beugle, meugle, mugit (cri sourd et prolongé)

Le zèbre

hennit

 

 

 

2/ Complète les énoncés suivants avec « avoir du mal à » ou «  avoir mal à ».

 

 

·        Robinson a du mal à convaincre Vendredi qu’il faut tuer la chèvre.

 

·        Anda a du mal à marcher. Ses muscles sont ankylosés.

 

 

·        La pauvre bête a fait une chute terrible. Elle  a mal à la tête.

 

·        Le vieil ours va voir le dentiste. Il a mal aux dents.

 

 

3/ Construis deux ou trois phrases dans lesquelles tu parles de l’amitié entre l’homme et l’animal. Tu peux employer : inséparables, grande amitié, proche, fidèle, sincère.

 

L’animal est très proche de l’homme. C’est un ami fidèle. Une grande amitié pourrait naître entre eux. L’animal est très sincère, il aime réellement son maître, il lui tient compagnie et chasse son ennui. Dans certains foyers, l’animal joue le rôle d’un enfant quand il n’y en a pas.

 

 

Texte page 135

Une rencontre

 

 

1/ J’apprends à nommer les parties du corps d’un animal.

Complète chacune des phrases suivantes par un mot de la liste ci-dessous :

 

Crinière- sabot- robe- cou- encolure- cornes- museau- fourrure- cornes- crocs- pattes- crinière-

 

·        Regarde comme ce taureau a fait voler la cape du toréador d’un coup de

 

·        cornes.

 

·        Ne reste pas derrière le cheval, tu risques un coup de sabot.

 

 

 

 

 

·        Dans ce grand magasin, on ne vend plus de manteaux en fourrure pour

 

participer à la lutte contre les massacres de certaines espèces animales.

 

·        C’est grâce à leurs longues pattes que les lévriers courent si vite.

 

 

·        Le faucon peut, en plein vol, saisir sa proie avec les crocs.

 

·        Les chevaux sauvages galopent crinière au vent.

 

 

2/ J’apprends à qualifier un animal :

Complète les énoncés suivants par des mots de la liste ci-dessous :

 

Gracieux- magnifique- beau- splendide- jeune- vieux- longue- soyeuse- abondante- menus- fins- luisantes- gros- immaculée- tachetée- long- effilé- puissant- drus- ras- longs- dure- rugueuse- épaisse- ridée-

 

·        La girafe détache les feuilles des branches d’un geste gracieux.

 

·        Le petit poulain à la robe soyeuse gambade autour de la jument.

 

 

·        Le berger allemand se distingue par ses poils drus.

 

·        Le paon se promène dans la basse-cour en déployant sa roue au plumage

 

magnifique et splendide.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 140

Gare à l’homme

 

 

1/ Parmi les mots suivants relatifs à la chasse, quels sont ceux que tu ne connais pas ?

Cherche les dans le dictionnaire :

Proie- gibier- oiseaux de proie- dévorer- déchiqueter- guetter- flairer- approcher-

 

Mots difficiles

Explication

La Proie

Animal pris par un autre pour être dévoré

Gibier

Les animaux que l’on essaie de tuer à la chasse pour les manger

Oiseaux de proie

 

Dévorer

Manger avec véracité

Déchiqueter

Déchirer en petits morceaux

Guetter

Regarder et écouter avec beaucoup d’attention pour être prêt à tout

Flairer

Sentir grâce à son flair : ce qui lui permet de reconnaître les odeurs

Approcher

Venir plus près

 

 

2/ Chasse l’intrus de chacune des listes suivantes :

Exemple :

Dans la liste suivante :

Rossignol, tourterelle, hirondelle, kiwi, alouette.

L’intrus c’est Kiwi parce que c’est un oiseau qui ne vole pas.

 

·        Lion- Tigre- Hyène- Renard- Gazelle- Guépard- Léopard-

 

·        Truite- Saumon- Thon- Sardine- Chat- Carpe- Rouget-

 

·        Girafe- Gorille- Chimpanzé- Buffle- Eléphant- Aigle-

 

 

 

 

 

Texte page 144

L’escapade

 

 

1/ Quand vos vacances seront terminées, il faudra rentrer à la maison.

 

·        Elles l’avaient regardé venir vers elles avec une sorte de sympathie et

 

beaucoup d’ironie.

 

·        Blanche et la jeune Bertille avaient poussé des soupirs.

 

 

·        Elles mangeaient un peu d’herbe aux chevreuils.

 

 

Choisis la bonne réponse parmi celles qui sont proposées.

 

·        On parle des vaches comme de n’importe quel autre animal domestique.

 

·        On parle des vaches comme animaux sauvages.

 

·        On considère les vaches comme des humains.

 

 

2 / Noms affectifs donnés aux animaux : la Rousse- Blanche et la Bertille sont  les noms qu’Ernest donne à certaines de ses vaches. Ces noms servent à :

 

·        Distinguer les animaux.

 

·        Les appeler et communiquer avec eux.

 

 

·        Les considérer comme membres de la famille.

 

·        Dire qu’ils nous appartiennent.

 

 

 

 

 

 

Texte page 148

Le chat, le loup et le chien

 

 

 

1/ Animaux sauvages (en liberté), animaux domestiques (animaux familiers, bêtes de somme et autres). Chasse l’intrus.

 

 

·        Mouton- Chèvre- Chat- Girafe- Bœuf- Dromadaire- Cheval-

 

·        Guépard- Lion- Crocodile- Loup- Brebis- Renard- Tigre-

 

 

2/ Les verbes de mouvement : voler- planer- prendre son envoi- fondre sur- se poser sur- courir- bondir- détaler- sauter- fuir- se déplacer- se mouvoir-

Construis une phrase avec chacun de ces verbes.

 

 

·        Le pigeon vole grâce à ses ailes, l’avion vole poussé par ses réacteurs, la

 

feuille vole poussée par le vent (se déplace en l’air).

 

·        Cherche bien ta gomme, avant de dire qu’un camarade te l’a volée.

 

 

·        Regarde le vol plané de la mouette. La mouette plane : elle vole sans

 

remuer les ailes.

 

·        C’est un concours de marche : tu n’as pas le droit de courir ! d’aller si vite

 

qu’il y a à chaque pas un moment où tu ne touches plus le sol.

 

·        Les chevreuils bondissaient dans le sous-bois. Ils sautaient, bien vite,

 

souplement.

 

 

 

 

 

·        En nous voyant, le garnement (vilain petit garçon qui fait des sottises) prit

 

peur : si tu l’avis vu détaler ! Se sauver en courant, filer, déguerpir.

 

·        A l’arrivée des gendarmes, les voleurs ont pris la fuite. Ils ont fui. Ils se

 

sont sauvés. Ils sont en fuite.

 

·        Je parie que tu n’arriveras pas à sauter ce fossé. A le franchir d’un saut (en

 

longueur).

 

·        Dans son métier, mon oncle fait beaucoup de déplacements. Il se déplace souvent. Il voyage pour son travail (ou pour d’autres raisons).

 

·        L’hélicoptère s’est posé dans le jardin de nos voisins. (atterrir).

 

·        Mon oncle se mouvoit (se déplace)  souvent d’un pays à l’autre : c’est un homme d’affaires.

 

·        Le renard fond sur sa proie.

 

 

Texte page 157

L’enfant et l’arbre

 

 

 

1/ L’arbre au fil des saisons

Emploie certains des mots suivants pour parler de la vie de l’arbre à travers les saisons :

Bourgeonner – fleurir- perdre ses feuilles- grandir- vieillir

Tronc- racines- branches- rameaux- écorce

 

 

L’arbre pousse petit à petit. Les racines s’enfoncent dans la terre et l’arbuste grandit. Le tronc s’endurcit et les branches s’allongent de plus en plus et des rameaux naissent. En automne l’arbre perd toutes ses feuilles. Au printemps, il bourgeonne, ainsi l’arbre fleurit. Après plusieurs années, l’écorce s’épaissit et l’arbre vieillit.

 

 

 

2/ Que doit-on dire :

 

·        Garder le secret ou cacher le secret ?

 

Garder le secret

 

·        Donner un secret ou confier un secret ?

 

Confier un secret 

 

·        Montrer le secret ou dévoiler un secret ?

 

Dévoiler un secret 

 

·        Partager un secret ou diviser un secret ?

 

Partager un secret

 

 

3/ Chasse l’intrus :

Voici trois listes de secrets de la nature. Quelques intrus s’y sont glissés. Retrouve-les.

 

A/ Profondeurs de la terre et de la mer : gouffre, geyser, foudre, grotte…

 

B/ Phénomènes naturels que les gens comprennent mal et qui sont imprévisibles : séismes, étoiles filantes, pluie, volcans, tsunami, typhons, cyclones…

 

C/ Spectacles naturels suscitant l’admiration : coucher du soleil, aube, colline, arc-en-ciel, aurore boréale…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 162

La terre en colère

 

 

1/ Le vocabulaire des sentiments et des émotions :

Se réveiller en sursaut, s’affoler, espérer, admirer, craindre.

Complète les énoncés suivants par des verbes choisis dans la liste donnée :

 

·        Le volcan vient de s’éveiller. Les habitants qui se réveillent en sursaut

 

courent dans toutes les directions. Ils craignent d’être pris dans la lave.

 

·        Les vacanciers, surpris par la vague géante, s’affolent et cherchent partout

 

leurs proches.

 

·        Au Pôle Nord, les explorateurs plantent leur tente et ils sortent pour

 

admirer le merveilleux coucher du soleil.

 

·        Le pêcheur de perles ouvre les coquilles les unes après les autres. Il

 

    espère y trouver la perle de ses rêves.

 

·        Beaucoup de marins évitent de prendre la mer par mauvais temps :

 

Ils craignent de connaître le même sort que tant de malheureux

 

naufragés.

 

 

2/ Complète les énoncés suivants par : voir- regarder- entendre ou écouter.

 

·        Le pêcheur est sur le point d’ouvrir la grosse coquille. Sa femme fait

 

 semblant de regarder ailleurs.

 

·        A la surface de la perle, le pêcheur voit se dessiner des rêves.

 

 

 

 

 

·        L’explorateur avance seul dans la forêt. Soudain, il entend un bruit

 

derrière lui. Il se retourne et voit un tigre.

 

·        L’enfant laisse tomber une grosse pierre dans le puits puis il écoute

 

attentivement pour apprécier la profondeur du gouffre.

 

 

Texte page 170

La marée

 

 

1/ L’expression des sentiments :

L’admiration- l’étonnement- la crainte- le bonheur- la fierté-

De quel sentiment s’agit-il dans les énoncés suivants ?

 

* Un explorateur devant un geyser :

 

« Dieu ! Que c’est magnifique ! »

 

* L’admiration

 

* Un capitaine de navire voyant des icebergs : « Ah ! ça se complique

 

vraiment ! »

 

* La crainte

 

* Armstrong sur la lune : «  Je serai donc le premier !... »

 

* La fierté

 

* Un enfant à sa mère devant la cage aux lions : « Regarde sa crinière,

 

maman ! »

 

 

 

 

 

 

* L’étonnement

 

*Sur le sommet de l’Himalaya, l’alpiniste s’exclame : « Enfin !... »

 

* Le bonheur

 

*Une lapine à une éléphante : « Tu mets 23 mois pour avoir un petit ? »

 

*L’étonnement

 

 

2/ Voici des mots de la même famille :

Marée- Mare- Marécage-

 

Cherche leur sens dans un dictionnaire et emploie les dans des phrases.

 

* Si tu veux ramasser des coquillages, attends la marée basse. Moment où l’eau de la mer s’arrête le plus loin du bord. Ce n’est pas le moment de jouer sur la plage, c’est la marée haute. Moment où l’eau de la mer vient le plus près du bord. Achetons le journal, pour voir les heures des marées. Mouvements de la mer, qui monte et qui descend deux fois par jour.

 

* Dès qu’il arrive à la ferme, Rémi attrape des grenouilles dans la mare. Petite

 

étendue d’eau, peu profonde.

 

* Ne t’écarte pas du sentier, la région est marécageuse. Couverte de marécages.

 

(étendues d’eau et de boue où poussent des plantes).

 

Poème page 180

Premier sourire du printemps

 

 

1/ Repère la rime dans la strophe suivante :

 

Dans le verger et dans la vigne,

Il s’en va, furtif perruquier,

Avec une houppe de cygne,

Poudrer à frimas l’amandier.

 

 

 

2/ Dans /le/ ver/ ger/ et/ dans/ vign(e)/

Découpe les autres vers de la même manière. Combien y a-t-il de syllabes chaque fois ?

 

Dans/ le/ ver/ger/ et /dans/ la/ vigne,

Il/ s’en/ va/, fur/tif /per/ru/quier,

Avec/ une /houp/pe /de/ cy/gne,

Pou/drer/ à/ fri/mas/ l’a/man/dier.

 

 

Texte page 182

Le secret

 

1/ Voici des mots de sens proche :

·        un secret

·        une énigme

·        un mystère

 

Trouve les adjectifs qui se rapportent à ces noms :

 

* secrète

* énigmatique

* mystérieux

 

2/ Dis si c’est un secret, une énigme ou un mystère.

 

·        Le triangle des Bermudes qu’on situe mal et qu’on ne parvient pas à

 

expliquer.

 

·        énigme

 

·        Ce que je confie à mon ami intime.

 

·        secret

 

·        La disparition des dinosaures.

 

·        Mystère

 

 

 

 

·        La capacité des oiseaux migrateurs à toujours suivre le même itinéraire.

 

·        secret

 

·        Le langage des animaux comme les abeilles et les fourmis.

 

·        énigme

 

2/ Charades :

 

Chaque définition correspond à un mot. Les mots trouvés, juxtaposés,

 

composent un autre mot :

 

1/

* Refaire sans faire

 

* Les bateaux y ont leurs attaches

 

* Ne pas dire

 

* On trouve mon tout dans un journal, à la radio, à la télé.

 

→ re-port-taire → reporter

 

2/

* Etoile

 

* Ennemie du feu

 

* Au restaurant, est présentée à la fin du repas.

 

* Mon tout à la tête dans les étoiles.

 

→ astre-eau-note → astronaute

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 193

Le naufragé

 

 

1/ J’enrichis mon vocabulaire :

 

Journal : un quotidien c'est-à-dire un journal paraissant quotidiennement :

Un cahier dans lequel on raconte les évènements au jour le jour (les mémoires)

 

·        Je te feuillette distraitement dans le train, c’est un quotidien.

 

·        Le soir, dans ma chambre, j’y écris ce qui s’est passé dans la journée.

 

C’est un mémoire.

 

·        Je l’achète pour les mots croisés, c’est un quotidien.

 

·        A la mort de l’écrivain, on le publie parfois, c’est un mémoire.

 

 

2/ Champ lexical du naufrage :

Tempête- faire naufrage- naufragé- survivant- détresse.

Complète avec le mot qui convient :

 

Quand la tempête éclate, en haute mer, les vagues sont tellement puissantes que

 

parfois les bateaux font naufrage.

 

Le commandant lance des appels de détresse.

 

Il faut espérer que les équipes de secours arrivent rapidement sur les lieux pour

 

prêter main forte aux naufragés et ramener les survivants.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 196

Comme une bête

 

 

1/ Complète les énoncés suivants par : enfant ; enfant sauvage ; enfant adoptif.

 

·        Les D’hubières n’ont pas d’héritiers. Ils cherchent à convaincre la famille

 

de paysans de leur « donner » leur fils. Ce sera un enfant adoptif.

 

·        Il a grandi avec les animaux de la forêt et n’a pas appris à parler. C’est un

 

enfant sauvage.

 

 

·        La sorcière a piqué la jeune princesse. La pauvre enfant a plongé dans un

 

profond sommeil.

 

 

2/ Comment nommer ce qu’on ne connaît pas ?

Voici des phrases tirées du journal de Robinson Crusoé :

 

En revenant le long du rivage, j’ai vu diverses espèces d’oiseaux de mer inconnus de moi. J’ai tué un gros oiseau qui était bon à manger, mais comment il s’appelle, je l’ignore.

 

Réécris ces phrases en employant : une espèce de, une sorte de pour désigner les oiseaux en question.

 

En revenant le long du rivage, j’ai vu une espèce d’oiseaux de mer. J’ai tué un gros merle qui était bon à manger,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Texte page 201

Une fermière généreuse

 

 

1/ Savoir/ Comprendre

 

Complète par savoir ou comprendre que tu conjugueras :

 

·        J’entends des aboiements et des grognements sourds. Minou, mon petit chat, entre dans ma chambre comme une flèche, les poils hérissés.

·        Je sais ce qui s’est passé.

 

·        Robinson vient de parcourir une grande partie de l’île. Il n’a vu personne. Il sait maintenant qu’il est seul.

·        La grotte est si étroite mais il sait comment s’y glisser.

 

·        Quand tu verras le paysage polaire, tu comprendras pourquoi tant d’autres ont risqué leur vie à explorer ces régions avec si peu de moyens.

 

·        On a retrouvé les carnets du chef de l’expédition et on a su toute la vérité.

 

2/ Savoir/ Bien savoir

 

 

Je sais bien….mais

Je sais bien que ce film raconte une histoire imaginaire, mais il m’a ému aux larmes.

En imitant le modèle donné, complète les énoncés suivants en employant :

Leur en raconter ; il ne peut résister à l’attrait de la mer ; son histoire continue de passionner les gens.

 

·        Je sais bien que ce bateau a fait naufrage depuis des dizaines d’années,

 

mais son histoire continue de passionner les gens.

 

·        Je sais bien que les enfants aiment les histoires, mais il faut savoir leur en

 

raconter.

 

 

 

·        Daniel sait bien que la marée est dangereuse mais il ne peut résister à

 

l’attrait de la mer.

 

3/ Complète par « jeter un sort » ou « être victime d’un sortilège » en conjuguant les verbes.

 

·        On lui a jeté un sort : elle est devenue une grenouille.

 

·        La Belle au Bois Dormant a été victime d’un sortilège : Seul un prince au

 

cœur vaillant pourra la réveiller.

 

·        Les sorcières ne savent faire qu’une chose : jeter un sort.

 

·        Heureusement, les bonnes fées sont là pour aider ceux qui sont victimes

 

d’un sortilège.

 

 

Texte page 210

La princesse sur un pois

 

 

1/ Réalité- Vérité- Vraisemblance- Réel- Vrai- Vraisemblable-

Complète les énoncés suivants par l’un des mots de la liste :

 

 

·        L’histoire de Selkirk est réelle. Celle de Robinson Crusoé, par contre est

 

imaginaire.

 

·        Est-ce vrai que le Titanic a fait naufrage le 16 avril 1912 ?

 

·        Dans les contes merveilleux, on rencontre toujours des fées, des sorcières

 

et des princes charmants. Ces récits ne sont pas réels. Ce ne sont pas des

 

choses que l’on rencontre dans la réalité.

 

 

 

2/ Complète par : faits divers, aventure ou mésaventure.

 

·        Tartarin de Tarascon se prend pour un grand chasseur. Une nuit, il tire sur ce qu’il croit être un lion. Le matin, on découvre que ce n’est qu’un pauvre âne.

 

Ce n’est pas sa seule mésaventure.

 

·        Dans les pages intérieures des journaux, on trouve des articles sur des actes de vols, de violence, des accidents etc.

 

Ce sont des faits divers.

 

·        Les aventures de Sindbad ont fait rêver les enfants du monde entier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La canne de grand-père

 

De Carl Norac

 

         Travail extrait du parascolaire : Savoir Plus : Le Français au collège (Septième année de l’enseignement de base)

 

1/ Présentation de l’œuvre

 

a/ Quel rapport y a-t-il entre le titre et le drame raconté ?

 

Le titre «  la canne » a un rapport direct ave le grand-père. Elle l’aide à se déplacer. Mais elle symbolise aussi sa vieillesse qui le rapproche de la mort, un évènement qui a causé la tristesse du narrateur.

 

b/ Quel autre objet peut-il être le titre de l’œuvre ? Pourquoi ?

 

L’arbuste, parce qu’il incarne le souvenir du grand-père.

 

 

Résumé de l’œuvre :

 

Antoine, le narrateur et son grand-père s’aiment énormément. Le garçon remarque que son grand-père est souffrant mais il ne dit rien. Le vieux lui demande de planter un arbuste avant de s’immobiliser définitivement. Le lendemain, il meurt ; le gamin est malheureux. Il parle de ses peines à ses parents. Le jour de l’enterrement, il reçoit la canne de son grand-père et rencontre Sophie. Dans ses rêves, il revoit le vieux et rêve de le remplacer par la belle Sophie.

 

 

Illustrations- couverture

 

L’image page 114 représente «L’enfant et la canne ». Elle met en valeur la tristesse et la solitude du narrateur. L’image page 115 ne présente plus un arbuste mais plutôt un arbre épanoui et déjà assez grand. Le rêve du narrateur est donc réalisé.

 

 

 

 

 

A travers quel regard découvre-t-on l’univers de l’histoire ? Pourquoi ?

 

On découvre l’univers de l’histoire à travers le regard et la conscience d’Antoine parce que les lecteurs enfants et jeunes, auxquels la leçon morale de la nouvelle est destinée, la reçoivent sans réserve ni méfiance quand elle provient de quelqu’un de leur âge ou presque. Antoine n’est que le masque du contenu  didactique de l’œuvre : Jeunes ! Aimez les vieux, ils ne sont pas diaboliques.

 

Le schéma narratif de l’œuvre

 

 

 

 

1- La situation initiale : avant

 

Avant : présentation des personnages principaux (Antoine et son grand-père), leur rapport affectif (leur jeu), le lieu (le jardin de la maison …).

 

 

 

2-L’évènement perturbateur : au début

 

L’évènement perturbateur est la maladie : « Grand-père souffre trop pour marcher », c’est lui qui déclenchera les actions suivantes.

 

 

 

3-Les actions qui développent le récit : pendant

 

 

Pendant : les actions qui développent le récit : la réaction d’Antoine à l’information de la mort, les pleurs, l’enterrement, le don de la canne…

 

 

 

4-L’évènement équilibrant : à la fin

 

 

A la fin : l’évènement équilibrant : le rêves…

 

 

 

 

5-La situation finale : après la fin

 

Après la fin : la situation finale qui présente un nouvel équilibre. La présence de Sophie symbolise l’espoir. Et, c’est la vie qui, pour un enfant, prend le dessus sur la mort, sans offenser le souvenir de la vieille personne qui vient de quitter l’existence.

 

 

 

 

Les transformations :

 

 

Le grand-père

 

de la mobilité à l’immobilité, de la vie à la mort

 

 

Antoine : du bonheur à la tristesse

 

du bonheur au chagrin, du désespoir et la révolte à l’espoir

 

 

 

Antoine : de la tristesse à l’espoir

 

Par la rêverie (l46-49) et le rêve (l66-69). Dans le premier cas, c’est un peu triste. Mais après « ce n’était plus triste » car même la canne « fleurit », et grand-père « applaudit».Antoine est devenu « magicien ».

 

 

 

Le dénouement de l’histoire est-il vraiment malheureux ? Pourquoi ?

 

         Le dénouement n’est pas vraiment malheureux car le grand-père en mourant dans la pudeur et la dignité a donné une leçon à son petit fils. La vie et la mort sont deux sœurs inséparables. Pour que la mort ne soit pas une tragédie, il faut que tu aies vécu.

 

 

L’écoulement du temps a-t-il permis au narrateur de surmonter la crise ?

 

         Au cœur de l’évènement, Antoine a eu du mal à supporter le choc. Au début, il a démenti la nouvelle pensant que c’est encore un jeu de grand-père. Puis, il admet la vérité non sans troubles psychiques mis en valeur par les pleurs et les rêves. Mais un enfant peut-il supporter la tristesse plus de quatre jours ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les personnages

 

 

 

 

Antoine

Est un gentil arçon gentil, intelligent et attachant tandis que son grand-père  est un homme jovial, amusant, affectueux et généreux.

 

Le grand-père

Lorsque les personnes âgées sont indulgentes, tolérantes et généreuses, les jeunes d’aujourd’hui entretiennent avec elles des rapports positifs, car ceux-ci n’aiment pas que la troisième génération les prive de leur liberté ni de leur choix de vie.

 

 

Quel type de rapport entretiennent le grand-père et son petit fils ?

 

Au-delà de leur lien familial, le gamin et son grand-père entretiennent des liens solides, ils sont complices en tout.

 

Quel rapport peut-on établir entre Antoine et l’arbuste puis entre l’arbuste et le grand-père ?

 

Le rapport d’Antoine et l’arbuste est symbolique. L’arbuste est le souvenir de son grand-père et le signe des valeurs que celui-ci lui a transmises. D’un autre côté, le grand-père considère l’arbuste comme la preuve matérielle de son passage dans l’existence. Il ne veut pas qu’on l’oublie.

 

En quoi la canne et l’arbuste sont-ils complémentaires ?

 

L’arbuste et la canne sont complémentaires dans ce sens qu’ils sont l’incarnation d’un passé qu’il faut continuer à respecter. Ils représentent les valeurs nobles que nous devons hériter du passé.

 

 

 

 

 

Quelle ressemblance relève-t-on entre Sophie et l’arbuste ?

 

Tous les deux sont jeunes. Mais si l’arbuste rappelle le passé, Sophie oriente le regard du gamin vers l’avenir.

 

La canne et l’arbuste d’un côté, Antoine et Sophie d’un autre côté symbolisent l’optimisme de l’auteur ? Explique cela.

 

L’optimisme de l’auteur se laisse voir dans la complémentarité entre le passé et le présent. Le présent est en même temps le résultat et le dépassement du passé.

 

Cherche dans le dictionnaire les différents  sens du mot « canne » :

 

Canne : tige droite de certaines  plantes - bâton- roseau- canne à pêche : gaule portant une ligne de pêche- canne : jambe (de belles cannes)-

 

L’arbre est le symbole de la vie, du paradis, de la paix, de l’honneur, de la liberté, de la fertilité, de la générosité, de l’amour, de l’enracinement, de la renaissance, de l’espoir…

 

Exercices de production :

 

Sujet 1 :

 

         Parmi les valeurs que le grand-père a transmis à son petit fils, on relève l’amour de l’arbre et de la nature. Dans un récit à la première personne, tu nous racontes ta propre aventure qui t’a fait acquérir cette valeur.

 

Mon père a acheté une belle maison. Mais son jardin est nu, pas le moindre arbre. Alors, nous avons décidé d’y planter différentes espèces de fruitiers : des figuiers, des grenadiers, des orangers, des pommiers, des pruniers… A l’hiver, mon père a sollicité mon aide pour creuser les trous puis pour arroser les arbustes. A ma grande surprise, au printemps et à l’été passé, j’ai goûté, les premiers fruits que nos arbres nous ont offerts. Et maintenant, lorsque mon regard les caresse, j’admire les quelques fruits que portent les orangers et les grenadiers. L’amour de l’arbre, me semble-t-il, est comparable à l’amour des enfants.

 

 

 

 

 

 

Sujet 2 :

 

         Tu essaies de fuir ta tristesse après la perte d’une personne chère. Alors, tu te souviens des moments agréables que tu as passés avec elle. Raconte.

 

Ma grand-mère maternelle est une femme qui a gardé les signes d’une beauté rare. Mais en plus de sa splendeur physique, elle était tellement généreuse parce qu’elle ne garde rien pour elle. Toujours souriante, affectueuse et disponible. Je passe des semaines entières chez elle. Quand elle est là, je n’ai aucun souci. Soudain, elle nous quitte, sans même faire des adieux, suite à une crise cardiaque. Au début, je n’ai pas réalisé ce que cela signifie. Concevoir la vie sans elle est impossible. Puis le vide s’étend autour de moi. Ma chère grand-mère n’est plus vivante. Où aller ? Nulle part. Le monde devient petit, étouffant. Un jour, j’explose en pleurs. Ma mère m’a alors dit : « Tu sais, fiston, c’est la vie, on finit toujours par perdre ses grands-parents. Désormais, elle n’existe que dans nos souvenirs. » Ces paroles m’ont fait mal au début, puis, j’ai appris comment je me nourris de mes souvenirs.

 

Sujet 3 :

 

Ton ami maltraite sa grand-mère. Raconte en intégrant des répliques dans ton récit.

 

Eric, un camarade de classe, est un menteur. Il prétend être tendre et doux avec les personnes âgées mais en fait, il est violent et impoli. Je l’ai vu maltraiter sa grand-mère en lui disant qu’elle était dépassée, ne comprenant rien et que tout ce qu’elle dit ne sert à rien. « Tu es une vieille sorcière ! Lui lance-t-il au visage, où est-ce que tu caches cet argent maudit, qu’est-ce que tu en feras ? ». Il l’a traitée de visage ridé, de casse-pieds … Il imite ironiquement sa démarche cahotante. Il ne lui cache pas que sa présence l’énerve et que si elle part, il ne la retient pas : » quel plaisir à accueillir une vieille radine et pas belle », lui dit-il sans hésitation. Ce spectacle m’a vraiment gêné mais ce qui m’a brisé le cœur, c’est les larmes que les yeux de la grand-mère refusent de libérer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sujet 4 :

 

         Ton grand-père, avant de mourir, te ligue un objet qui a maintenant beaucoup d’intérêt pour toi. Raconte.

 

         Tahar, mon grand-père paternel, nous a quitté la semaine dernière. C’était un excellent plaisant. Mais quand il a des douleurs, il devient aussi triste qu’un grenier vide. Le jour de sa mort, il a un visage triste mais serein. Il me fait signe du doigt pour venir près de lui. Il me donne sa montre qu’il attache par une petite chaîne d’or à sa blouse. « Elle est à toi maintenant, je n’en ai plus besoin. Mon heure est arrivée », me dit-il. Quel message voulait-il me transmettre ? Une montre contre le temps, le temps que nous avons à vivre. Une montre en or. Cela signifie que le temps est précieux. « Profite du temps que tu as à vivre. » Voilà le sens exprimé par la montre. C’est pourquoi je fais maintenant tout mon possible pour honorer mon cher Tahar.

 

Sujet 5:

 

         Après avoir perdu son grand-père, Antoine est devenu pâle et soucieux. Il a fallu l’arrivée d’une personne pour le retirer de cet état.

Décris l’état d’Antoine après la mort de son grand-père et parle de cette personne et de ce qu’elle a fait pour lui faire oublier son chagrin.

 

 

         La vie est parfois dure et nous cause beaucoup de chagrin. Tel est le cas d’Antoine après la mort de son grand-père. Le gamin était très attaché à son pépé qu’il a subitement perdu. Depuis, le petit fils est désespéré, il ressent de la tristesse et de l’amertume. Antoine est très malheureux, il est mélancolique et n’arrive pas à oublier ce qui lui est arrivé. Mais voilà qu’un jour, un ami du défunt arrive accompagné de sa petite fille nommée Sophie. Voulant lui confier ce qu’il ressentait, Antoine retire la fillette par la manche en direction du jardin. Alors ? Sophie a pris la canne et a commencé à la lancer dans les branches du châtaignier, ce qui a permis au jeune garçon de revoir son grand-père de son vivant jouant le rôle de Charlot avec sa canne et depuis Antoine a commencé à se servir de cet objet pour imiter son grand-père jouant à Charlot et revoit les bons moments passés avec cet être cher et inoubliable.

 

 

 

 

 

 

Sujet 6:

 

Antoine aimait beaucoup son grand-père parce qu’il passait beaucoup de temps avec lui. Que faisaient-ils ensemble et quel est l’objet légué par le vieil homme à son petit fils et que représente-t-il pour le gamin ?

 

 

         Les grands-parents occupent une grande place dans la vie de leurs petits enfants. Ces derniers leur sont beaucoup attachés. Ainsi, le petit Antoine passait tout son temps en compagnie de son grand-père. Ils jouaient à Charlot et au magicien, ils plantaient un arbuste dans le jardin. Partout à la maison, on entendait leurs voix entrain de chuchoter ou de rigoler. Même après la mort du grand-père, Antoine n’a pas cessé de penser à lui surtout que ce dernier lui a légué une canne. Cette canne a toujours servi au vieil homme aussi bien à marcher qu’à s’amuser avec son petit fils. Grâce à ce joli bâton recourbé, tous les deux imitaient  Charlot. Cette canne symbolise pour le gamin le bonheur, la joie et tout le beau temps qu’il a passé avec son grand-père décédé. Elle est pour lui un trésor, il gardera toujours cet objet avec lui en souvenir d’un être qui

lui était très cher.

 

 

Sujet 7:

 

Le grand-père d’Antoine aimait beaucoup la nature et plus précisément les arbres. A la fin de ses jours, il a planté un arbuste qu’il lui a légué. A ton avis, pourquoi a-t-il fait ce geste et que va faire le jeune garçon de cet arbre et à quoi lui servira-t-il ?

 

 

         La nature embellit l’environnement et atténue la pollution. Rares sont les personnes qui ne s’occupent pas de leurs jardins. Le grand-père d’Antoine adore la nature. Tous les jours, il passe deux ou trois heures à remuer la terre, à tailler les arbres et les arroser. Quelques jours avant sa mort, il a planté avec son petit fils un arbuste et lui a demandé  de s’en occuper. Le vieil homme pense que cet arbre permettrait au jeune garçon de penser à lui chaque fois qu’il l’arroserait, il se souviendrait de bons moments passés avec son grand-père, de la joie qu’ils ont partagée en creusant le trou pour planter l’arbre.

         Pour le grand-père, l’arbre serait le témoin de son existence, la preuve qu’il a toujours aimé la vie et la nature. Quant à Antoine, l’arbuste lui permettrait de passer un peu de temps dans son jardin et de lui prodiguer les soins nécessaires comme le faisait son grand-père. IL n’oublierait jamais combien il était heureux en sa compagnie et dans quelle joie ils vivaient ensemble.

 

Sujet 8:

 

Antoine est très attaché à son grand-père. Un jour, malheureusement, il le perd subitement. Raconte ce qui s’est passé ce jour là et décris l’état dans lequel se trouvait la famille du défunt et surtout son petit fils.

 

         Antoine est un petit garçon qui passait tout son temps en compagnie d’un vieil homme gentil, doux, affectueux, généreux et compréhensif. Ils bavardaient ensemble, s’occupaient du jardin et jouaient à Charlot.

         Un matin, le grand-père ne se réveille pas ; il est décédé. La famille est en deuil, tout le monde pleure. La mère hurle, le père se tord de douleur. Le petit Antoine est malheureux. Assis seul dans un coin du salon, il tenait la canne de son pépé contre son cœur et pleurait à chaudes larmes. Le petit fils est déprimé, il souffre en silence. Epaulé par son voisin, le père d’Antoine s’occupe des funérailles qui ont eu lieu l’après-midi. Après l’enterrement, un grand vide s’abat sur la maison. Tous les présents ont de la peine, personne ne parle. Antoine, gardant toujours la canne de son pépé avec lui, se précipite vers sa chambre où il s’enferme.


 

         Travail extrait du parascolaire : Savoir Plus : Le Français au collège (Septième année de l’enseignement de base)

 

 

 

Module  de lecture

Mascotte le  Saint Bernard des mers

 

 

Fiche d’identité

Nom

Mascotte, le Saint Bernard des mers

Age

Quatorze ans

Race

Saint-Bernard

Aspect général

Ni grand, ni petit

Oreilles

Tombantes

Qualités

Obstiné- persévérant- courageux- fidèle

Ancienne adresse

A la ferme, chez les Bouard

Nouvelle adresse

« Chez Mascotte » la maison de Patrick

Empreintes digitales

 

 

 

Portrait de Mascotte :

 

         Il n’est ni grand, ni petit avec de longs poils gris et des oreilles tombantes. Mascotte est un chien obstiné, courageux et fidèle.

 

La mascotte :

 

C’est un animal, une personne, un objet qui porte bonheur.

 

Saint-Bernard :

 

1/ Race de chien de montagne, probablement originaire d’Asie.

 

2/ Chien d’avalanche, son flair et son instinct exceptionnels lui permettent de repérer d’éventuelles victimes sous la neige après une avalanche.

 

Le rôle du chien dans la vie de l’homme :

 

         Le chien joue un rôle très important dans la vie de l’homme. Nul ne peut nier que le chien est un ami fidèle. Depuis notre jeune âge, notre vœu le plus cher est de posséder un chien. Un chien  domestique est la meilleure chose qu’on peut avoir à la maison. Cette bête nous tient compagnie, garde notre maison et chasse notre ennui.

                    

Activités diverses :

 

         Activités 1 :

 

Réponds aux questions suivantes pour découvrir le conte et pour le présenter comme il faut :

 

1/ Quel est le titre de ce conte ?

 

Mascotte, le Saint Bernard des mers.

 

2/ Selon toi dans ce conte, on raconte l’histoire :

 

·        D’un petit garçon qui s’appelle Mascotte.

·        D’un vieil homme qui s’appelle Mascotte.

·        D’un chien qui s’appelle Mascotte.

 

3/ Mascotte s’appelle également le Saint Bernard des mers

 

·        parce qu’il a sauvé des marins

 

Ecris la phrase exacte qui le montre :

On m’appelle «  le Saint-Bernard des mers ».

 

4/ Mascotte raconte sa propre histoire. Alors il est :

 

* L’auteur

* Le narrateur

* Le héros : le personnage principal

 

5/

 

A/ Cette histoire est longue ou courte ?

 

Cette histoire est courte.

 

B/ Comment appelle-t-on ce genre de texte narratif ?

 

C’est une nouvelle.

 

6/ Observe les images se trouvant dans les pages 106/107 et 108 puis commence chacune dans une phrase en rapport avec l’histoire.

 

L’image page 106 : il s’agit d’une tempête.

L’image page 107 : il s’agit d’un chien qui ressemble à Mascotte.

L’image page 108 : il s’agit de la maison de Patrick : «  Chez Mascotte »

 

7/ Quelle image choisis-tu pour une couverture à ce conte ? Dis pourquoi ?

 

Je choisis l’image de Mascotte parce que c’est lui le héros de l’histoire.

 

8/ Relis attentivement les premières lignes de ce conte puis complète le tableau suivant :

 

Les personnages

Le lieu : l’action se passe dans :

Le temps

Le héros de ce conte est : Mascotte

La mer

Le soir

Les Bouards sont : les anciens maîtres de Mascotte

A la campagne

En hiver

Celui qui a sauvé Mascotte est : Patrick

Dans la forêt

Pendant la journée

        

9/ Maintenant, essaie de présenter le conte à ton père qui te demande ce que tu étudies en français pendant le deuxième trimestre.  Complète le paragraphe suivant :

 

«  Mascotte, le Saint-Bernard des mers est une nouvelle dont le narrateur est un chien qui a vécu des aventures. L’action se passe dans la mer pendant la nuit ou pendant une tempête. »

 

         Activité 2 :

 

1/ Où vivait Mascotte ?

 

Mascotte vivait chez les Bouard.

 

2/ Comment était-il traité par les Bouard ?

 

IL était maltraité par les Bouard.

 

3/ Que pense le paysan de son chien ? Qu’a-t-il fait de lui ?

 

Le paysan pense que son chien n’est plus bon à rien. Il l’a jeté dans la forêt : «  Il s’est arrêté dans la forêt. Il m’a dit : «  Allez ! Descends ! »

 

4/ Qui l’a trouvé dans la forêt ?

 

Un marin qui s’appelle Patrick l’a trouvé dans la forêt.

 

5/ Comment était-il traité par sa nouvelle famille ?

 

Il était bien traité par sa nouvelle famille : «  Ils m’emmènent dans une maison et me voilà devant un bon feu. J’ai droit à un bon potage bien chaud. »

 

6/ Quel est le métier de Patrick ?

 

Patrick est un marin.

 

7/ Pour le premier voyage de Mascotte dans la mer, que s’est-il passé ?

 

Il y a eu une tempête.

 

8/ Pourquoi les journalistes prennent-ils des photos de Mascotte ?

 

Les journalistes prennent des photos de Mascotte parce qu’il a sauvé des marins qui allaient se noyer.

 

9/ Que fait la police chez Patrick ?

 

La police va chez Patrick parce que les Bouard prétendent que ce dernier est un voleur et qu’il a enlevé Mascotte dans la cour de la maison.

 

10/ Comment à la fin, Mascotte a-t-il fait son choix de maître ?

 

A la fin, Mascotte saute sur son ancien maître puis il s’arrête, se couche tranquillement et regarde les spectateurs d’un air gentil. Ainsi, il a choisi Patrick et non pas monsieur Bouard.

 

 

 

 

 

Questions de compréhension :

 

1/ Qui est Mascotte ?

 

Mascotte est un chien.

 

2/ Pourquoi le maître de Mascotte le laisse seul dans la forêt ?

 

Le maître de Mascotte le laisse seul dans la forêt parce qu’il a vieilli et parce qu’il est blessé.

 

3/ Combien de temps a duré le mal de mer pour Mascotte ?

 

Pour Mascotte, le mal de  mer a duré trois jours.

 

4/ Pourquoi Mascotte a refusé de monter sur le canot ?

 

Mascotte a refusé de monter sur le canot parce qu’il y a des marins qui risquent de se noyer.

 

5/ Les journalistes écrivent que le chien a sauvé tous les marins, mais ce n’est pas la vérité, alors combien  a-t-il sauvé ?

 

Mascotte a sauvé trois marins seulement.

 

6/ Pourquoi les Bouard ont appelé la police pour Patrick ?

 

Les Bouard ont appelé la police pour Patrick pour l’inculper de vol: le vol de leur chien.

 

7/ Quelle est la nouvelle que Patrick annonce à Mascotte ? Est-elle bonne ?

 

Patrick annonce à Mascotte que le président de la république va lui donner une médaille de sauvetage : c’est une bonne nouvelle.

 

8/ Quelle est l’importance des chiens dans la vie de l’homme ?

 

Le chien est un ami fidèle pour l’homme. Il est un gardien et un compagnon. Il surveille la maison de son maître.

 

        

 

 

Le résumé du conte :

 

         Mascotte est un chien de garde dans une ferme. Ses maîtres ne le battent pas mais il mène une vie misérable « une vie de chien ». Une nuit, il sort gravement blessé d’un combat qui l’oppose à un renard venu manger les poules. Alors son maître se débarrasse de lui parce qu’il n’est plus selon lui, bon à rien. Patrick et sa fiancée le ramassent dans la forêt. Ils le soignent puis, le jeune marin le prend avec lui dans le bateau.  Soudain, la tempête se lève.  Le bateau chavire et Mascotte sauve trois marins  et s’évanouit. On  le retrouve vivant chez une famille de pêcheurs. Il devient héros national. Hélas, son ancien maître le réclame accusant Patrick de vol. On accueille le chien dans son village natal avec les honneurs. Mais son maître est accusé par un journaliste d’avoir maltraité l’animal. Le facteur confirme l’accusation. Mascotte attaque alors son maître. C’est ainsi qu’il revient chez Patrick qui l’a vraiment sauvé de la mort.

 

 

         Production écrite :

 

Sujet 1 :

 

         A l’âge de sept ans, tes parents t’ont offert un tout petit chien. Il a aujourd’hui cinq ans. Raconte dans quelles conditions il a vécu au sein de ta famille.

 

A la fin de ma première année primaire, je termine première de ma classe. Pour me récompenser, mes parents m’offrent un tout petit chien, qui aujourd’hui a cinq ans. Son nom est « Citron ». Il vit parmi nous car je l’ai entraîné à être propre. Il mange ce que nous mangeons et boit ce que nous buvons. Personne ne le bat. Le soir, il couche sur un petit tapis près de mon lit. Il a l’oreille lourde. Ce qui est intéressant dans mon rapport avec lui, c’est que sa présence m’a appris à être responsable et je l’ai vu grandir avec moi.

 

Sujet 2 :

 

         Ton chien Zombo, prend ta défense lors d’une agression commise sur toi par un demi-fou en colère. Raconte.

 

 Maman, je veux faire un tour avec le chien.

         - D’accord, mais pas dans la forêt.

Je prends mon baladeur, appelle mon berger allemand et quitte l’appartement avec joie surtout que j’ai terminé tous mes devoirs.

Content, le chien se met à me tirer dans le sens de la forêt. Je l’en empêche en le ramenant par force vers moi. Mais en vain, car il est plus fort que moi. Nous voici en pleine forêt. Je me dis qu’il n’y a pas de mal à cela. Je lâche la chaîne et le chien se met à courir dans tous les sens. J’applique mon baladeur aux oreilles et me mets à écouter une musique aussi douce que la verdure et le calme du lieu. Pendant que je regarde le chien se faufiler entre les arbres pour attaquer les petits papillons, une main lourde se pose, soudain, sur mon épaule. Je ressens un frisson qui traverse mon corps. Mon cœur bat très fort. Je me retourne et je vois un homme dans un état horrible : cheveux longs et décoiffés, visage angoissant, vêtements déchirés, pieds nus et sales.

-         Donne-moi l’argent, m’ordonne-t-il.

-         Je n’en ai pas ! lui dis-je.

 

Je comprends qu’il est fou et sûrement dangereux.

« Dieu, qu’est ce que je peux faire ? M’enfuir ? Il me rattrapera. »

         - Viens avec moi à la  maison et mon père te donnera beaucoup d’argent, lui dis-je.

Il se précipite sur moi, je recule, il me prend par la manche de la chemise, je le pousse. Diable, il est fort comme un Turc.

Soudain, il tombe parterre et je vois du sang sur son visage. Il se relève pour s’enfuir, mais mon chien le mord à la jambe. Il crie : »Lâche-moi méchant chien. » Mais celui-ci ne le lâche pas. Je prends alors le chien par le cou et le tire vers moi. Le fou se relève comme un vent et disparaît dans la nature. Je suis émue, je n’arrive pas à démêler mes sentiments. « Que dire à mes parents ? » me dis-je. Rien sinon ils se fâcheront contre moi. J’ai eu peur mais je suis fier de mon chien.

-         Allons Zombo, rentrons à la maison.

 

 

         Sujet 3 :

 

         Le fils de Patrick a maintenant cinq ans et Mascotte est sur le lit de la mort. Patrick raconte à son enfant le récit du naufrage, surtout les moments où son chien a perdu connaissance.

 

         Tu vois François que Mascotte est malade. Il va nous quitter, il va mourir. Comme il est faible et souffrant ! C’est un héros, Mascotte. Il a sauvé trois de mes amis pendant la tempête qui avait renversé notre bateau. Il allait sauver le quatrième marin lorsqu’il s’évanouit. Les vagues l’ont transporté sur les rivages. Un pêcheur le trouve. Il remarque que son cœur bat encore. Il le réanime en vain, il le transporte chez lui, allume un feu, pose une main douce sur sa tête et lui parle. C’est à ce moment que Mascotte se réveille.

 

         Sujet 4 :

 

         De retour chez lui, un marin raconte à sa famille ce qui s’est passé à la mer et comment il a été sauvé par un merveilleux chien (Mascotte) tout en le décrivant. Rapporte ce qu’il a dit.

 

         Mes chers enfants, ma femme chérie, je remercie Dieu de me retrouver parmi vous. Je compte parmi les survivants. En réalité, je dois ma vie à un chien que les mains ont appelé Mascotte.

         C’est un animal qui n’est ni grand, ni petit avec de longs poils gris et des oreilles tombants. Je vois la scène : la mer est mauvaise et les matelots ne sont pas tranquilles. On sent que quelque chose de grave va se passer ; un orage éclate, notre bateau danse, les vagues sont immenses. Elles montent comme des montagnes au milieu d’une nuit obscure et renversant le bateau. Tous les bateaux sont couverts par les grosses vagues, j’essaye de nager, j’appelle u secours. Je n’arrive pas à résister à la force de l’eau qui monte. Je me noie quand par miracle, je vois Mascotte qui vient me secourir. Je le tiens avec les deux mains. Je le sens se débattre contre les vagues. Je m’accroche en voyant mes amis se battre contre la tempête. Mascotte réussit à me tirer. Je reprends courage et j’essaye de nager avec mes jambes.

         Le chien lutte avec toutes ses forces et chose extraordinaire, il m’amène jusqu’au canot de sauvetage.

 

         Sujet 5 :

 

         La lecture approfondie de la nouvelle t’a certainement donné envie de posséder un chien. Décris celui que tu veux avoir.

        

 

         Le chien que je souhaite posséder doit être grand et fort. Je veux qu’il soit mon ange gardien, un berger allemand qui mélange la puissance du noir et la douceur du jaune tirant vers le roux. Il faut qu’il soit attentif, agile et intelligent, des qualités qui se manifestent  par la rapidité et la fluidité du mouvement. Je veux qu’il me comprenne du regard. Ses grands yeux noirs reçoivent mes ordres avant même de parler. Je l’aime joueur et amusant, coureur et doux. Je souhaite qu’il soit noble ne mangeant que de ma main, ne dormant que près de mon lit. Je veux enfin qu’il reconnaisse les gens afin de se montrer gentil avec mes amis, méchant avec les méchants.


 

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